10 Mai 2012
Emile
C’est l’apparition du tout dernier algorithme Google nommé Penguin, qui a suscité cet article sur Google Caffeine : l’objectif étant de comprendre l’évolution du moteur de recherche, l’intérêt de ces modifications.
Avant que le géant des moteurs de recherche ne s’attaque au spam, il a veillé à sa propre performance : pour cela, Google Caffeine est apparu, comme l’avait annoncé Matt Cutts en 2009. Objectif premier? Gagner en vitesse d’indexation, d’apparition des résultats de requêtes mais aussi augmenter le nombres d’indexation notamment en valorisant les images. Le deuxième gros point est la volonté de voir apparaître au moins la moitié des résultats propres à l‘actualité : nous sommes donc déjà dans une optique de satisfaire le lecteur en lui offrant des informations toutes fraîches!
Cette évolution du moteur de recherche est allé plutôt en faveur des référenceurs contrairement aux suivantes, qui leur ont donné du fil à retordre… C’est un désir d’améliorer la précision des SERPs en tâchant de trouver le contenu qui corresponde le mieux aux termes tapés par l’internaute, et donc en analysant les contenus écrits de manière bien plus profonde. De plus, le moteur acquiert ou du moins améliore sa capacité à évoluer dans le temps. L’indexation et le classement varie donc de manière plus fréquente.
On peut dire cela en constatant que le réseau social qui semblait autant favorisé que Facebook et Twitter, n’a finalement pas eu le succès phénoménal de Printerest par exemple : nous parlons ici de Frienfeed (la SEO ne fait pas forcément le succès d’un site!).
Toutefois, Google Caffeine a apporté de l’importance à ces réseaux, dans le même état d’esprit qu’il en a apporté à la réactualisation régulière du contenu web. C’est pour cette raison qu’on conseille en SEO de publier un article par jour sur un blog, plutôt que 30 d’un seul coup.
Google Caffeine a donc fait un pas en avant sans pour autant sanctionner les sites mal référencés : il n’y avait pas autant de suroptimisation qu’à ce jour). En revanche aujourd’hui, les référenceurs se sentent pris au piège face aux évolutions très pénalisantes lorsque le référencement n’est pas “de pure blancheur” (sous-entendu white hat).