11 Juin 2012
Emile
Les campagnes de netlinking sont absolument nécessaires pour le référencement d’un site : elles accélèrent considérablement sa montée dans les classement des SERP. Cependant, cela prend beaucoup de temps : voici une solution alléchante mais dont l’efficacité pose question, pour ne plus avoir à passer des heures (parfois inutilement) à négocier des liens.
Vous en avez rêvé, et bien sachez que ça existe! Un générateur de liens qui prétend vous faire économiser de l’énergie en garantissant la création de backlinks uniques chaque jour, sans votre intervention. Un rythme régulier permet en effet de rendre moins décelable le link building artificiel qui est sanctionné par Google.
L’un d’entre eux est franchement bien référencé sur la toile, sans pour autant que cela prouve qu’il soit de qualité : Social Monkey. Le service est payant mais revient beaucoup moins cher que d’autres propositions de liens. Il propose de créer 25 liens chaque jour, voire encore plus pour ceux qui choisissent la version premium. Au total, 750 liens chaque mois seraient ainsi obtenus. Mais valent-ils de l’or ou sont-ils au contraire la porte ouverte aux sanctions de google?
Social Monkey fonctionne avec un plugin soit sous Firefox soit sous Chrome. Lorsque celui-ci est installé, il ne reste plus qu’à se rendre sur la page que l’on souhaite promouvoir. Les réglages peuvent ensuite se faire en remplissant un formulaire.
Il est fort probable que non… Cet outil relève du black hat pur et dur, qui saura sans aucun doute être détecté par l’algorithme Google Penguin. Pour que cela fonctionne, l’outil doit pouvoir générer des backlinks de différents types, en plus d’avoir sélectionné des noms de domaine différents. A noter que, si Social Monkey relient les sites de même thématique en espérant flater la SEO, cela ne semble pas suffisamment naturel… On peut très bien avoir un ami qui tienne un blog sur le football tandis que le nôtre parle de cuisine et vouloir renvoyer un lien vers lui. Bien sûr, ces liens sans thèmes communs doivent rester en minorité.