29 Avr 2012
Emile
Jusqu’à présent, il semblait logique que l’augmentation de trafic générée sur un site web grâce aux réseaux n’avait rien à voir avec le classement dans les moteurs de recherche. Et si cela avait changé?
Voici le compte-rendu d’une étude menée par Branded3. Elle démontre comment une page web est mieux classée dans les SERPs dès lors qu’elle est twittée plus de 1000 fois. C’est par rapport aux mots clés qui composent les tweets que le positionnement est précisé. Mais finalement, qu’est-ce qui prouve que c’est le tweet qui influence la SEO? Ne serait-ce pas plutôt le trafic engendré par les recommandations des internautes qui est recompensé par un meilleur classement?
Dans cette logique, on conçoit parfaitement que Facebook, Viadeo et n’importe quel autre réseau du web influence le positionnement, de manière indirecte. On peut alors plus ou moins assimiler le community management à la SEO : il s’agit d’une technique à entretenir régulièrement pour espérer impacter le classement dans les SERPs. C’est pourquoi les experts SEO ont intérêt à optimiser leurs Tweets et leurs posts sur Facebook pour inciter à la lecture.
Certains maîtrisent particulièrement l’art d’interpeller en quelques mots. Cette discipline demande à la fois de savoir tourner les phrases à leur avantage, sans pour autant être hors-sujet : rien de plus désagréable que de lire un article qui n’a rien à voir avec l’intitulé du lien… C’est au risque de perdre toute crédibilité et de perdre des lecteurs… Généralement, formuler les liens sous forme de questions est un plus, mais ce n’est pas suffisant : s’il s’agit d’une interrogation dont tout le monde connaît la réponse, cela n’a pas grand intérêt. L’intitulé doit en effet être adapté aux personnes qui le liront.
On constate une nouvelle fois que la SEO n’est pas si logique qu’elle n’y paraît : tout est relatif…